A Vos Souhaits

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Nom Complet : Avril Espiègle ~ A Vos Souhaits
Âge : 6 ans
Sexe : Jument
Race : Arabo-Shetland
Groupe : Indiens
Rang ( si il y'en a ) : Jument du Guérisseur, c'est possible ?

Description Physique :
Ah... A Vos Souhaits... Tu vas bien évidemment vouloir de mon aide, ma chère... Je te connais bien, maintenant... Si bien que... Que je pourrais faire cette description les yeux fermés. Mais alors comment être sûre de te décrire parfaitement ? Oui, tu as raison, pour cette fois je vais garder les yeux ouverts.

Tu es belle, ma chérie. Magnifique, même. A ta manière, certes. Parfaite, en un sens. Tu es A Vos Souhaits. Une jolie jument de petite taille... Si petite que tu n'es qu'une ponette. Non, mon ange, ne rêve pas, tu ne grandiras plus... Mais tu resteras toujours ma A Vos Souhaits que j'aime. Quelle que soit ta taille ou ton physique. Mais continuons donc sur ton physique. Tu es donc une jolie petite ponette. Avec de longues pattes, comme lorsque tu étais encore pouliche. Mais tu n'es plus pouliche, n'est-ce pas ? Et pourtant tu as le même physique... Est-ce parce qu'au fond de toi, tu es restée une enfant ? Moi-même je ne pourrais te le dire... Un physique d'enfant, donc. De longues et fines pattes, mais que tu connais maintenant. Tu ne t'emmêles plus avec comme le font les poulains. Une longue encolure, fine et arquée. Oui, ton cou est pareil à celui d'un cygne. Oui, tu es au moins aussi gracieux que ce noble animal... Mais laisse-moi continuer, ma chérie. Tu ne voudrais quand même pas que j'oublie des détails quand à ta beauté ? Non ? Donc maintenant, tais-toi !

Tu as une jolie robe pour mettre en valeur de frêle corps. Une jolie robe grise... Oui, tu es du même gris que la tombée de la nuit. Oui, ton gris est magnifique. Oui, ma chère, oui. Je n'oublie pas de parler de tes tâches. J'y arrive justement. Tes origines de shetland... Oui, pardon. Tes NOBLES origines de shetland. C'est mieux là ? Donc, je disais. Tes nobles origines de shetland t'ont dotée de splendides tâches blanches. Sur tes 4 membres, telles 4 grandes balzanes immaculées. Et une autre sur ton dos. Une grande, qui fait comme un tapis de selle naturel. Et enfin de légères tâches le long de ta crinière, et sur ton chanfrein. Comment ça ce n'est pas tout ? J'en ai oublié ? Ah, oui, tu as raison. Et un peu sur le bout des oreilles...

Mais tu sais que ce n'est pas vraiment ça qui fait de toi une vraie poupée. Tu le sais, n'est-ce pas ? Tu es barbouillée de rose par ta cavalière. Mais tu aimes cette couleur, n'est-ce pas ? Au point d'avoir 2 pattes de la couleur de l'amour. Et le bord de tes autres tâches. Cette couleur fait de toi ce que tu es.

Et pour finir, ma chérie, tes crins. De longs crins volages, d'un blanc sans failles. Le blanc des rayons du soleil. Oui, ma chère, tu associe le blanc du soleil et le gris de la lune. Mais, il te manque le bleu du ciel, n'est-ce pas ? Eh non. Car tes yeux, tels deux diamants, sont bleus. Un bleu... magique. Un bleu... qui te correspond mieux que ne le ferais aucune autre couleur. Le bleu du ciel. Et le ciel, c'est quoi ? De la pluie. La pluie, c'est quoi ? De l'eau. L'eau, c'est quoi ? La vie. Le bleu de la vie, A Vos Souhaits. Le bleu de la vie. Ne l'oublie jamais, ma chère, jamais...

Description Psychologique :
Tu connais ton physique par coeur, ma chère. Mais connais-tu ton caractère ? La partie la plus interne de toi, que tu réfrènes continuellement... Pour t'adapter, dis-tu. Mais as-tu au moins une vrai personnalité ? Quelque chose qui n'appartient qu'à toi, qui est différent des autres ? Ne t'avises pas de me dire non, Avril. Je n'accepterais pas ça de toi...


Le mensonge. Tout simplement. Il érige ta vie, pas à pas. Tu ne te fie qu'à lui.Tu lui laisse la part la plus importante de toi. Et pourtant... Tu caches tant de merveilles, ma chérie ! Tu es d'une intelligence rare, réfléchissant vite et bien. D'une curiosité sans bornes.Tu apprends vite, et tu t'intéresse à tout. Tu aimes savoir encore et encore plus. Tu as même besoin de savoir encore et encore plus. Tu vois, quand tu veux ! Tu peux être pleine de qualités...
Mais ces qualités, personne à part moi ne peut les voir. Car tu les caches. Tu les emprisonne derrière une chape de mensonge, aussi solide qu'un mur de pierres. Aussi haut que le ciel, voire plus encore. Inatteignables. Voilà ce que deviennent tes qualités... Tu ne veux pas les montrer. Tu les garde précieusement, pour toi. Aux yeux des autres, tu parait idiote, incapable, maladroite... Tu a les mêmes réactions qu'un poulain privé de sa mère. Tu ouvres toujours de grands yeux lorsqu'on te dit quelque chose de pourtant simple. Tu fais semblant de ne rien comprendre. Et, quand tu parait ne serait-ce qu'avoir intégré quelque chose... Tu trouves un moyen encore et toujours de montrer que, décidément, tu n'es bonne à rien.

Mais pourquoi tout ceci ? A quoi bon cette mascarade ? Pour te protéger du monde extérieur. Pour qu'on ne fasse pas attention à toi. Pour être seule, que personne ne vienne te voir. Seuls de rares privilégiés connaissent l'or qui sommeille en toi. Ta demi-soeur. Ton frère. Et... C'est tout.



La poupée. La seconde chose qui te caractérise le plus. Ne serait-ce que par la couleur dont tu es affublée. Tu as clairement fait comprendre à Piano, celle qui s'occupait de toi avant que tu ne deviennes jument du chef, que le rose te plaisait. Et Plume d'Aigle, depuis, a gardé cette habitude. Tu es toujours propre, tu ne supporte pas le fait de te salir. Toujours distinguée, même si tu parais simple d'esprit. Tes mots sont choisis, consciencieusement. Tu aimes donner de toi l'image d'une précieuse. Colérique. QUi obtiens toujours ce qu'elle veut. Qui aime donner des ordres. Et, mine de rien... ce trait de caractère renforce encore plus l'image pitoyable que tu aimes donner de toi...


Tu es décidément irrattrapable, ma chère...


Passé :
Tu te souviens de ton enfance, A Vos Souhaits... Non ? Comment ça non ? Tu ne peux pas avoir oublié, mon ange ! Ah, c'est donc ça... Tu ne veux pas t'en rappeler. Mais il le faut, pourtant. Tu dois enfin comprendre que ceci est un pan de ton histoire. Une partie de toi-même... Tu ne dois pas l'oublier. Jamais...


Ta naissance... Le début de ta petite vie, en tant que pouliche. A jamais pouliche, certes. Mais passons. Tu as eu un frère jumeau, gris et blanc comme toi, mais avec des tâches différentes. Tu es née chez les Indiens, te souviens-tu ? Ta première famille, et à ce jour la seule qui te reste fidèle. Tu obtiens ce nom, Avril Espiègle. Ton frère fut baptisé Décembre Froid. Et ta demi-soeur -car tu en avais une- était prénommée Rêve de Juin. Un petit trio de mois. En honneur à votre père commun, Mars.
Très proche de ta soeur, tu passais ton temps avec elle. Ton frère, lui, te surveillait de loin. Déjà petite, tu étais volage et plus entraînée par les jeux qu'autre chose... Mais ta soeur, chère soeur... Le destin vous sépara bien vite, au bout de même pas un an. Tu fus donnée comme cadeau aux Cow-Boy. Avec ton jumeau, et ta mère. Destinée à partir sur l'Ancien Continent...


Te rappelles-tu de ton voyage ? Oui, un peu ? Allons donc ! Tu es allée en France, dans le nord du pays. Te rappelles-tu maintenant ? Oui ! Avec ton jumeau ! Ton maître, ivre ce soir-là, te donna ce nom. A Vos Souhaits. Sais-tu pourquoi ? Sur ton son cheptel de chevaux indiens arrivés la même année, tu étais la seule jument. Oui, ma chère, la seule et l'unique. Et, pour se venger, il t'appela ainsi. A Vos Souhaits. Ton frère, lui, hérita du nom d'Atchoum.
Et ensuite, ta rappelles-tu ? Ta mère, t'appelant. Le maître n'avait pas vérifié si elle allait bien. Et elle te laissa ces mots. Pour que tu ailles les répéter à ton frère.

Puisqu'il faut que je vous quitte
Puisque la nuit m'attend
Puisque je m'en vais trop vite
Trop longtemps

Puisqu'il te faudra lui dire
Avec ses mots d'enfants
Puisqu'il te faudra mentir
Tendrement

Parle-lui de ce voyage
De ce monde après les nuages
D'un grand jardin en couleur
Trouve les mots pour pas qu'elle pleur

Parle-lui de ce cheval
Qui m'a portée jusqu'aux étoiles
De ma maison dans le ciel
Raconte-lui combien je l'aime, combien je l'aime

Puisqu'il faut que je vous laisse
Puisque la nuit me gagne
Mon amour et nos promesses
T'accompagnent

Dis-lui que je suis près d'elle
Que je suis dans le vent
Puisqu'il faudra qu'elle comprenne
Doucement

Parle-lui de ce voyage
De ce monde après les nuages
D'un grand jardin en couleur
Trouve les mots pour pas qu'elle pleur

Parle-lui de ce cheval
Qui m'a portée jusqu'aux étoiles
De ma maison dans le ciel
Dis lui combien je l'aime

Quelque soit le temps que ça prenne
Apprends-lui que la vie est belle

Parle-lui de ce voyage
De ce monde après les nuages

D'un grand jardin en couleur
Trouve les mots pour pas qu'elle pleur

Parle-lui de ce cheval
Qui m'a portée jusqu'aux étoiles
De ma maison dans le ciel
Raconte-lui combien je l'aime, combien je vous aime

Chanson "Parle Lui" de Lorie.

Oui, tu t'en souviens ? Ta mère, te laissant ces mots. Et te quittant à tout jamais. Aimais-tu ta mère ? Pas vraiment, n'est-ce pas mon ange... Elle ne s'occupait pas de toi. Comment pouvais-tu l'aimer ? Et ton frère, ton jumeau ? Oui, lui, tu l'aimais. Tu l'aimes toujours d'ailleurs... Mais continuons, après cette première nuit sur ce continent. Une nuit dure pour toi, n'est-ce pas ? Mais ceci est fini, tu peux oublier...


Ensuite... Ensuite, que peux-tu me dire ? Tu as grandis, oui. Heureuse, oui. Et te rappelles-tu des yearlings avec qui tu jouais ? Oui ? Deux fiers futurs étalons, As de Pique et Lilian. Tu t'en souviens, n'est-ce pas ? Comme ils te faisaient la cour, restaient toujours avec toi... Oh oui, ça énervais ton frère, lui d'ordinaire si protecteur. Tu te souviens, n'est-ce pas, de ce qu'ils te chantaient, ces deux mâles ? Non ? Eh bien, quelle mauvaise mémoire tu as ma chère !

Regarde-toi assise dans l'ombre
A la lueur de nos mensonges
Les mains glacées jusqu'à l'ongle

Regarde-toi à l'autre pôle
Fermer les yeux sur ce qui nous ronge
On a changé à la longue

On a parcouru le chemin
On a tenu la distance
Et je te hais de tout mon corps
Mais je t'adore
On a parcouru le chemin
On a souffert en silence
Et je te hais de tout mon corps
Mais je t'adore encore

Je vis dans une maison de verre
A moitié remplie de ton eau
Sans s'arrêter le niveau monte

Je suis le fantôme qui s'égare
Je suis étranger à ton coeur
Seulement regarde comme on est seuls

On a parcouru le chemin
On a tenu la distance
Et je te hais de tout mon corps
Mais je t'adore
On a parcouru le chemin
On a souffert en silence
Et je te hais de tout mon corps
Mais je t'adore encore

On a parcouru le chemin
On a tenu la distance
Et je te hais de tout mon corps
Mais je t'adore
On a parcouru le chemin
On a souffert en silence
Et je te hais de tout mon corps
Mais je t'adore

On a parcouru le chemin
On a tenu la distance
Et je te hais de tout mon corps
Mais je t'adore
On a parcouru le chemin
On a souffert en silence
Et je te hais de tout mon corps
Mais je t'adore encore...Encore...Encore

Paroles "Le Chemin" de Kyo.

Tu aimais ces deux étalons autant l'un que l'autre... Mais eux ne l'entendaient pas ainsi. Ils voulaient que tu choisisse... Mais le pouvais-tu ? Pouvais-tu te dédier à l'un et trahir l'autre ? Déjà à cette époque, tu ne voulais pas y penser. Tu ne voulais pas prendre un quelconque choix. Aussi tu n'en fis aucun. Et retourna mener ta vie auprès de ton frère, que tu avais délaissé jusque là...

Vous étiez ma vie comme la nuit et le jour
Vous deux, nouez, filiez mon parfait amour
Un matin vous m'avez condamnée à choisir
Je ne vous aimais qu'à deux
Je vous laisse, adieu
Choisir serait nous trahir

Paroles "4 mots sur un Piano" de Patrick Fiori

Ensuite, ensuite... La vie continua. Tu passa 4 ans en France, heureuse, avec ton frère. Vous étiez inséparables... Aussi, lorsque ce dernier dû être renvoyé en Amérique pour servir aux Cow-Boy, tu partis avec lui... Toujours ensembles, comme un immuable destin qui aurait été assigné à deux êtres...
Votre séjour au fort se passa... Très mal. Une même cavalière s'occupait de vous deux. Au début tout allait bien. Mais son supérieur lui ordonna bien vite de choisir l'un de vous deux, et de laisser l'autre pour un cavalier. Elle fit son choix. Et ce ne fut pas toi. Ton frère eut le droit de rester avec elle. Et pas toi.

Cuel destin qui, pour une fois, vous séparait. Pour autant, votre cavalière ne voulut pas te laisser à un autre cavalier. Elle te ramena au camp indien. Pour te confier à une amie, Piano.

Quatre mots sur un piano, ceux qu'elle a laissés
Quatre c'est autant de trop, je sais compter
Quatre vents sur un passé, mes rêves envolés
Mais qu'aurait donc cet autre que je n'ai ?
Ne le saurai-je jamais

Cas très banal, cliché, dénouement funeste
Trois moins deux qui s'en vont, ça fait moi qui reste
Caresses, égards et baisers, je n'ai pas su faire
La partager me soufflait Lucifer
Depuis je rêve d'enfer

Moi j'aurais tout fait pour elle, pour un simple mot
Que lui donne l'autre que je n'offrirais ?
Elle était mon vent mes ailes, ma vie en plus beau
Etait-elle trop belle ou suis-je trop sot ?
N'aime-t-on jamais assez ?
Quatre années belles à pleurer, maigre résumé
Cartes jouées mais la reine s'est cachée
Quatre millions de silences, de regrets qui dansent
Les questions, les soupirs et les sentences
Je préférais ses absences

Moi j'aurais tant fait pour elle, pour boire à son eau
Que lui donne l'autre que je n'offrirais ?
Elle était mon vent mes ailes, ma vie en plus beau
Mais était-elle trop belle, ou bien nous trop sots ?
N'aime-t-on jamais assez

Mais qu'aurait donc cet autre que je n'ai ?
Ne le saurai-je jamais ?
La partager me soufflait Lucifer
Depuis je rêve d'enfer

Paroles "4 mots sur un Piano" de Patrick Fiori.

Et depuis, tu vis, loin de ton frère, mais au coeur du camp indien, certainement la seule famille qui te restera toujours fidèle...

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Votre Prénom : My name is Bond. James Bond.
Votre âge : 2013 ans. C'est ça la jeunesse.
Comment avez-vous trouver le forum ? : Top-Site !
Qu'en pensez-vous ? Il est marron. *fuis*
Code : Ok by Texaaas :3 Par contre, c'était une omelette aux lardons. /PAN/
Avez-vous un DC (double compte) ? : Pas encore ! ^^
Autres : Autres ?